Le public a depuis longtemps sombré dans la dépression on est venu… Et de la raison. Pendant des décennies, les salles de cinéma, en juillet et en août, n’est pas offert à ses disciples éplorés comme les blockbusters sont interchangeables nanars incroyables ou, dans le meilleur, des cas, les cycles se répètent. L’été, elle répétait sur tous les tons, a été la saison les damnés de films dignes de ce nom. Le public? En vacances. Les médias assurer la« promo»? Dans le sommeil.

Depuis quelques années, les bonnes nouvelles, un, changement radical de politique! Les distributeurs audacieux, en, s’appuyant sur des données sociologiques incontestables, n’hésitez pas à occuper les écrans. Et personne ne se plaint pas.« De grandes transhumances estivales appartiennent au passé, dit Eric Lagesse, le chef de la Pyramide, qui sort deux films ambitieux cette saison: la Vierge, de Keren Ben Rafael (25 juillet) et de Mary Shelley Haifaa al-Masour (le 8 août). Les gens prennent actuellement leurs vacances sur des périodes beaucoup plus courtes et, en été, il ya des spectateurs séduire dans toutes les grandes villes de France. Depuis quelques années, certains distributeurs indépendants prévoient au cours de cette période et ils ne le regrettent pas.»