Un configurateur 3D remplit deux fonctions essentielles : exploration et personnalisation. Mais en quoi cela consiste-t-il réellement ?

L’exploration

D’abord, un configurateur 3D doit permettre l’exploration complète du produit. En étant sur la page de celui-ci, le client doit pouvoir le visualiser dans ses moindres aspects.

L’exploration et la présentation d’un produit grâce à ce type de configurateur peuvent embarquer une rotation automatique. Dans ce cas le visiteur n’a aucun effort à fournir avec sa souris car les détails viennent à lui. Il est aussi possible de le laisser manipuler comme il le souhaite à l’aide de sa souris. Il a alors une certaine liberté.

Si on prend l’exemple d’une chaussure, le visiteur pourra se rendre compte de sa forme. En tournant, il peut voir si celle-ci épouse bien le pied ou si elle flotte un peu plus par exemple. C’est aussi l’occasion d’avoir un aperçu sur sa solidité, sa rigidité ou encore sa fabrication. Le visiteur pourra s’attarder sur tous les détails qu’il juge importants, des lacets au-dessous de la chaussure.

La personnalisation

La deuxième fonction d’un configurateur 3D est de permettre la personnalisation. Celui-ci peut consulter les couleurs qui sont disponibles, les matières que la chaussure peut prendre ou encore des détails de fabrication, comme les lanières d’un sac par exemple.

La personnalisation d’un produit se fait grâce à une sélection de critères généralement affichés sur le côté de la visualisation. Les changements apportés par le choix du client entrainent la mise à jour du produit. Si le visiteur clique sur « vert », la basket va alors prendre la couleur correspondante au modèle vert de la collection. Dans la même idée, s’il clique sur les lacets jaunes, ils vont eux-aussi prendre la couleur de la sélection.

Les changements apportés doivent être inclus rapidement pour faciliter la découverte du produit.