Alain Dumenil : Du secteur bancaire au secteur immobilier
Partager
Les attributs des hommes d’affaires français diffèrent grandement des normes de genre, et parmi eux se trouve Alain Dumenil sans hésitation. Homme d’affaires français, il fait partie des 500 personnes les plus fortunés de France. Il a une carrière exceptionnel et digne une introduction détaillée …
Dans les années 1990, le grand financier Alain Dumenil avait l’intention de se lancer dans le secteur immobilier. Après de nombreuses années dans la finance, il voulait battre d’autres industries. Ainsi, au fil du temps, il s’est constitué un solide parc de logements qui se composait essentiellement de bureaux, de magasins et de résidences. En 2000, son héritage s’est encore accru.
Après ce succès retentissant, il se fixe un nouvel objectif et se lance dans l’univers du luxe. Après avoir rejoint Alliance Design Group, il a acheté plusieurs marques. De Jean Louis Scherrer à Francesco Smalto en passant par Stéphane Kélian, Il n’a pris que le meilleur. L’objectif de cette stratégie était de composer un groupe médiateur dont le but n’est que le beau sexe entre quarante et cinquante ans. Des femmes délaissées par des groupes comme Dior.
L’écrivain derrière l’homme d’affaires
Après patronage, Alain Dumenil devient propriétaire d’une maison d’édition qui avait déjà publié plusieurs livres. Dans les années 2000, il est également propriétaire du Théâtre de Paris. Par contre à d’autres fanatiques d’arts, Alain Dumenil est un mécène très conservateur et ne s’efforce pas de figurer chaque semaine dans le Paris Match.
Alain Dumenil était un excellent écrivain.
En fait, il est l’auteur de trois romans prestigieux. Le premier roman d’Alain Dumenil est « La fête royale », paru en 2006 (Plon Edition).
Le deuxième roman d’Alain Dumenil, «Le Parfum d’Empire: La in Extraordinaire de François Coty». Le livre se compose d’une autobiographie, publiée en 2009, qui raconte le sort extraordinaire de François Coty, qui aurait préféré vivre une aventure fantastique plutôt que de se contenter du confort de la vie.