La monétisation d’instruments bancaires est une méthode de financement du commerce à faible coût et à faible risque qui monétise les instruments financiers inactifs en les convertissant en espèces ou en quasi-espèces en les liquidant.

La monétisation est rapide, facile et réalisable à l’aide d’un large éventail d’instruments financiers tels que les certificats de dépôt, les obligations de sociétés et les garanties bancaires, pour ne citer que quelques-uns.

La monétisation convertit les actifs inutilisés en espèces, qui peuvent ensuite être utilisées pour financer les importations, les exportations et les transactions commerciales internationales. Le coût réel est donc très faible et le coût d’opportunité limité, car les actifs ont été désaffectés.

Que signifie le mot Monetize?

Monétiser, c’est établir un actif ou un objet comme monnaie légale. Fondamentalement, il s’agit de transformer un élément non générateur de revenus en argent. Le terme monétiser a différentes significations selon le contexte.

Les gouvernements monétisent la dette afin de maintenir les taux d’intérêt bas sur les emprunts et d’éviter une crise financière, tandis que les entreprises monétisent les produits et services pour générer des bénéfices.

La monétisation va de pair avec le capitalisme – et est presque aussi ancienne. Le processus de monétisation est très important pour la croissance d’une entreprise ou d’une autre entité, car il est essentiel à sa planification stratégique.

Monétisation de la dette gouvernementale Exemple: pour simplifier, supposons que le gouvernement ait besoin de 50 000 $ pour un programme social. Il permet de lever 45 000 dollars par le biais de la fiscalité, mais il en faut encore 5 000

Le gouvernement peut soit emprunter de l’argent, imprimer de l’argent, augmenter les impôts ou réduire les dépenses. Le gouvernement décide d’emprunter de l’argent auprès du public en émettant 5 000 $ d’obligations et en offrant aux acheteurs d’obligations des taux d’intérêt avantageux.

Le gouvernement a maintenant l’argent dont il a besoin – 45 000 $ provenant des impôts et 5 000 $ de l’émission d’obligations – pour son programme social.